Tom BONNIFAY et Brice GRAZZINI intervenaient en défense du maire devant le tribunal correctionnel d’Aix en Provence.

Audrey a-t-elle été victime de harcèlement moral, par des propos et des comportements répétés ayant pour effet une dégradation des conditions de travail, durant presque deux ans, de la part du maire de Sausset-Les-Pins, son directeur général des services, et la cheffe du pôle enfance-famille? Le tribunal correctionnel d’Aix s’est longuement penché, ce lundi 2 septembre en soirée, sur cette épineuse affaire, mettant en cause un élu de la République et deux de ses proches collaborateurs.

En défense, Brice GRAZZINI et Tom BONNIFAY plaidaient une réorganisation mal vécue sur fond de crise de Covid 19.

Après avoir rappelé le parcours du maire, Tom BONNIFAY a insisté sur le fait que le réagencement des services avait été préconisé par la Chambre régionale des comptes. « Un maire, c’est le chef d’orchestre, il a le pouvoir de direction et de contrôle. Il a la possibilité de réorganiser, de donner des missions, et de dire si ces missions ne sont pas bien faites. Ce n’est pas du harcèlement!« , a-t-il assuré.

« Madame Gomila ne va pas supporter une strate hiérarchique supplémentaire« , complète Me Grazzini.

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